Artistes

Liu Yujun


Portraits stylisés noir et blanc ou souvent fragiles en couleur, dans lesquels il est créateur d’ambiance et de mysticité. La peinture imaginaire de Liu Yujun montre le mystère de la beauté chinoise. Le liquide bleu symbolise la sensibilité poétique de l’esprit féminin, fluide et naturel.

Dans la série de peinture de Liu Yujun intitulé « Unknown Liquid » la plupart de la toile est dominée par les images de femmes combinant le tempérament de la femme chinoise traditionnelle et du caractère de la femme urbaine chinoise moderne. Plus spécialement, Liu Yujun a créé une série d’images uniques de ‘belles femmes’ en élargissant et en changeant les formes dans une manière subtile et invisible tout en synthétisant l’ensemble dans deux directions opposées. Dans la première direction, il se concentre sur l’image de jeunes filles des palais impériauxs, les beautés chinoises traditionnelles. À cet égard Liu Yujun a adopté quelques traits caractéristiques de femmes chinoises, comme les yeux inclinés avec les paupières et les coiffures traditionnelles des peintures chinoises anciennes de ces jeunes filles des palais impériaux. Dans la direction opposée Liu Yujun s’est spécialement concentré sur les caractéristiques de l’ élégance froide de la femme chinoise urbaines moderne, comme leurs regards froids et indifférents de leurs yeux, de leurs lèvres lourdement soulignées, de leurs peaux lisses et brillantes, de leurs bouches légèrement ouvertes et séduisantes, dans leurs postures caractéristiques de leurs expressions.

Juliette Clovis

"Marina" Jeanne et Alice

L'indien roseLe chinois vertLe black jaune

 

Artiste plasticienne, Juliette Clovis évolue dans un univers graphique situé entre le Pop art et la Figuration narrative, alliant glamour, séduction et humour. Proposant une approche nouvelle du collage, jouant sur la transparence et les effets d’optique, l’artiste a développé une technique singulière. Elle travaille deux matériaux principaux : le plexiglas, qui sert de support, et le vinyle qui est découpé et apposé à la main en couches successives. Derrière une esthétique très contemporaine, le travail de Juliette Clovis offre une réflexion sur le temps, une observation sociologique du monde actuel. En mélangeant les codes visuels de manière incongrue, en créant des rencontres improbables, elle livre avec humour une réflexion sur la mondialisation, sur le mélange des cultures et l’évolution de la société.

 

 

Joseph Klibansky

 

Joseph Klibansky est un jeune artiste émergent (Cape Town 1984) néerlandais. Son travail peut être décrit comme graphique, dynamique, plein de couleurs et de fantaisie, souvent surréaliste. L’artiste est toujours stimulé par les choses qu’il observe autour de lui, ainsi que les gens qu’il rencontre. Ses principales sources d’inspiration sont la mode, le design d’intérieur, les villes, l’architecture ultramoderne, les magazines, ainsi que les voyages que l’artiste effectue dans le monde entier. Son art est déjà exposées dans les salles de réunion et les lobbies de nombreuses multinationales et chez des collectionneurs privés.

Les principales sources d’inspiration de Klibansky sont la mode, le design d’intérieur, les villes, l’architecture ultramoderne, les magazines…
Joseph Klibansky applique différentes techniques pour la création de ses œuvres. Klibansky use de tous les moyens visuels à sa disposition pour réaliser son œuvre: digital mixed media, enrichi avec de la peinture. Il crée une fusion d’images, de graphiques et de l’art, de peintures et de pochoirs.

 

KOKIAN




Kokian est français, né à Paris en 1971. Après une petite enfance partagée entre la Birmanie (2 années)et le Maroc(4 années), de retour en France à l’age de 8 ans, sa famille s’installe dans la région parisienne.Le choc de ces differentes cultures ,d’abord asiatique , marocaine puis occidentale…contraste d’odeurs,d’images,de sons,de règles différentes à quelque peu éloigné Kokian d’une norme établie.

Très jeune, Kokian de nature très solitaire a pris l’habitude de s’exprimer par la peinture. Différentes expositions « locales » ou en boites de nuit de 1989 à 1994 lui permettent de se faire remarquer, mais ce n’est qu’en 1994 qu’il décide de se consacrer pleinement à sa peinture.

En 1994, il découvre la rue et s’y exprime de façon solitaire.La rue a été un passage « obligé » de sa vie pendant quelques mois à Paris.Une douche froide.Il n’oubliera pas le regard absent des « gens normaux »,la société qui vous oublie et surtout vous rejette,et finalement découvrir la solitude écrasante et la déchéance qui peut en découler rapidement.

En 1995, il « fugue » à NEW YORK l’espoir renait. Là, dans la rue au hasard des rencontres et des échanges, derrière les murs de la ville et les stations de métro, KOKIAN va naître..vivre… La rue devient l’Atelier gratuit de KOKIAN et il y apprend à crier les messages de son époque et de l’actualité.

Il colle des dessins avec de court textes accompagnant type slogan ,s’installe au café en face et découvre la réaction de « l’autre »..et affirme alors ainsi le style qui aujourd’hui le fait connaître et reconnaître des collectionneurs.

Jusqu’en 1997, toujours avec cette touche provocante et insolente qui interpelle le collectionneur, KOKIAN participe à de nombreuses expositions informelles, dans les lieux insolites de la vie nocturne – Paris, Londres, Barcelone, Florence… . La presse et la télévision lui consacrent rubriques et reportages.

Pour ne pas être dépendant de sa peinture et continuer à peindre sans pollution et sans corruption, de 1997 à 2003, Kokian gagne sa vie comme Ingénieur commercial chez xerox et ensuite canon france ..après un long parcours laborieux…fac de droit à sceaux(92) pour devenir avocat ..Cycle arrêté brutalement pour raisons personelles..et pour « survivre » fait les marchés à Rungis comme commis vendeur fruits et légumes et sur différents marchés..ensuite vendeur d’encyclopédie en porte à porte ds les cités sensibles payé à la commission ou rien…divers « petits boulots « pour finir en costume cravate..ingénieur commercial grands comptes pour Canon france avant d’être passé 5 ans chez Xerox… .Kokian pense qu’un artiste doit s’adapter à la société pour mieux s’en détourner.Il faut être capable de s’y fondre pour mieux la juger.Parralèlement et plus modestement KOKIAN continue à « marquer son territoire » avec des sloggans revendicatifs et texte accompagnant ..sur le thème « Idée noire pour une jeunesse mal éclairée », … tout ce que KOKIAN refuse ,accepte,ne comprend pas…., il le hurle dans sa peinture…il veut réveiller le « moi » qui sommeille en chacun.Pour Kokian c’est l’analyse des coulisses de la société qui est importante..

En 2001, sur toiles pour la première fois, les taggs et graffitis de KOKIAN sont exposés à Paris à la Galerie ARTOZA.Avant sa production n’était pas chargée de graffiti mais de texte accompagnant.

Depuis KOKIAN n’a plus cessé de peindre. Ses expositions se succèdent dans les lieux où on l’attend le moins, toujours avec la même volonté dans ses messages de perturber les préjugés et faux-semblants de notre société. Ses toiles entrent dans de nombreuses collections du monde entier.

Kokian est un artiste professionnel rattaché à la maison des artistes à Paris. Il ne vit que de sa peinture …sans aucune aide de l’état mais seulement et uniquement par ces collectionneurs..ce qui fait sa fierté.

Kokian est aujourd’hui jeune Artiste libre coté international à l’age de 38 ans.

a suivre…

 

ERIC CITERNE

 

  • Diplôme National d’Arts Plastiques (D.N.A.P.) de l’Ecole Régionale des Beaux-Arts de Rouen.
  • Affilié à la Maison des Artistes depuis 2002, sociétaire de l’ADAGP depuis 2004.
  • Référencé par Artprice pour la vente publique du 29 octobre 2001, de l’œuvre « Le Cri », huile sur toile, 100/81 cm. Photo du tableau figurant dans la Gazette de l’Hôtel Drouot n° 37, page 151.
  • 2004 : 1er prix d’encouragement : « L’homme au cœur de l’art contemporain » MAIF (siège social de Niort).
  • 2010 : Bourse d’allocation exceptionnelle, CNAP, Paris.
  • Des œuvres sont régulièrement louées afin de décorer des scènes de films et de téléfilms où quelques fois elles y « jouent » un rôle comme dans le téléfilm « Avocats et associés » ou « Les inséparables » de Rappeneau ainsi que dans le film « Ma vie n’est pas une comédie romantique » de Gijaba.

« Extrait du texte de Gérard Denizeau sur le travail d’Eric Citerne. »

 

Sur le principe de la variation, Éric Citerne se plaît à développer des séries d’une savoureuse originalité, source d’une production mutagène, polymorphe, voire protéiforme, dont tous les paramètres stylistiques affirment un principe de liberté ne souffrant aucune concession. Au rebours d’un engagement esthétique sclérosant qui aura ruiné tout un pan de la création picturale dans les années 70/80, ce créateur inclassable refuse toute forme d’enfermement expressif, rejette toute catégorisation esthétique. Son art ne vit que dans le mouvement, l’artifice en étant exclu de facto au profit d’une authenticité assumée du geste, d’une spontanéité formelle inscrite dans la fugacité d’un temps et d’un espace dynamiques.

Aux yeux de notre homme, aucun danger plus mortel pour le peintre et son art que l’inconséquent immobilisme ! Défiant à l’endroit d’une technique trop éprouvée, infatigable inventeur de sa propre manière, Éric Citerne écarte inlassablement toute tentation de devenir le complaisant spectateur de sa peinture. Une peinture dont il exige beaucoup… Emotion, authenticité, rigueur, poésie, force et vertu… Une peinture qui refuse le confort au profit d’un affrontement mouvementé de notre turbulent univers. Une peinture d’homme, en un mot.

Gérard Denizeau

 

 

Pascal Vilcollet

 

 

« Il me semble que je peint depuis toujours.

La gouache, l’acrylique, les crayons de couleurs, du ti pex, peu importe. Ce qui est essentielle c’est de s’exprimer et de faire passer des émotions.

Pour moi la Peinture est une religion mais aussi un sport !

Je voue un profond respect aux artistes qui contribuent à l’histoire l’art, même Picasso.

J’ai beaucoup étudié le travail de Caravage, Vermeer, Bacon, Rothko.

Et plus récemment Lucian Freud, Murakami, Saville.

J’ai un rapport physique à la peinture. Je freine souvent mes envies de peindre le plus longtemps possible pour prendre un maximum de plaisir quant arrive l’heure d’exécuter une toile. Je peint avant tout pour moi, pour ma satisfaction et si le plaisir est partagé alors je suis très heureux mais si cela n’est pas le cas alors tant pis.

Le visage est mon sujet de prédilection et peut être une obsession…

Je ne cherche pas l’effet, je veux peindre pour me soulager d’un poids, comme un enfant gâté qui veut son jouet. Alors je travaille vite pour être le plus fidèle possible à mon idée de départ.

J’utilise l’acrylique pour la rapidité de son temps de séchage. Faire de La figuration pure ou de l’hyper réalisme ne m’intéresse pas, je préfère cette frontière entre la réalité et l’abstraction. Pour déchiffrer certaines toiles, il faut parfois se tenir à distance.

J’expérimente, j’attends l’accident, je laisse les traces, les ratures, les défauts, les premiers coups de pinceaux, le fusain. J’essaye d’être instinctif  et un peu sauvage.

Je me dévoile dans ma peinture, enfin un vrai moment de sincérité et de liberté. Je peins juste pour le plaisir et quand une toile est finie, je suis toujours heureux d’avoir trouver une partie de ma solution. Ma peinture parle plus que moi, j’espère… »

Texte de Pascal Vilcollet

 

Yannick Cohonner

 


 

Yannick Cohonner est un artiste Breton qui vit à Quimper.

Il a commencé en faisant des pièces mécaniques très pop avec des pin-up en patchwork sur contreplaqué, puis il laisse tomber la culture pop à proprement dite pour suivre ses maîtres Maillol, Rodin et se lance à 100% dans la tradition des grands sculpteurs.

Son passé d’artiste pop le rattrape pour créer des sculptures, ses vénus, comme des friandises, toutes rondes, très colorées, brillantes, qu’on a envie de toucher, de dévorer, à mi-chemin entre les grands sculpteurs classiques et la pop culture.

A dévorer sans modération…

 

Pioc Ppc

 

 

Enfant baigné dans l’amour des belles choses, surtout singulières,
il prend le chemin qu’il désire. Il ne tient compte ni des modes,
ni des avis, des envies, il ne fait que ce qu’il veut.
Pour Plus de Choix, il se diversifie.
Pour Plus de Copains, il aime la musique électronique.
Pour Plus de Chutes, il roule sur une planche.
Pour Plus de Culture, il choisit la nature.
Pour Plus de Copines, il sourit un peu.
Pour Plus de Chiens, il a Kaya.
Pour Plus de Couleurs, il les mélange encore et encore.
Pioc Ppc crée des oeuvres qui montrent et racontent, superposent
son monde et ses influences dans un arc-en-ciel graphique de couleurs.
Au début du chemin des gens qui choisissent cette vie singulière
qu’est de vivre de leur passion, il avance tranquillement..

 

 

Bajack


 

Peter MC LANE

 

  1. Né à Chamonix en 1945, de père Corse et de mère Alsacienne ! c’est d’abord une carrière de chanteur qui le fascine et l’emporte à toute allure pour 25 ans de scènes, de plateaux télés  et de galas.
    L’ Eurovision pour Monaco en 1972, une quinzaine de disques, le showbizz……
    Peter fête aujourd’hui  ses  23 ans de création numérique.
    En 1988 il réalise ses premières images de synthèse pour Dassault, l’Aérospatiale, Sony Music, Renault, Lucent Technologies….
    BAC Film, agences de Pub de prestige , entre autres.
    Il travaille  dans son studio parisien durant 10 ans, alliant la passion du chercheur à celle du technicien maniant hardiment son nouvel outil.
    Il exerce ses talents de  “nouvel argonaute“ que viennent confirmer les nombreuses invitations et commandes internationales, Japon, Italie,  Emirats Arabes, Mexique, Suisse, Allemagne, France, USA .
    Conscient alors de la palette inouïe que lui offre le numérique, il plonge en pionnier dans cet univers où l’aventure quasi spatiale semble déchirer  les voiles qui l’obstruent. Un monde démultiplié, unique, qu’il ne cesse d’explorer depuis 1988 usant en toute liberté, d’une fantaisie aspiralaire.
    Récompensé à plusieures reprises, il  est sponsorisé par Pioneer , la Sofinco et Packard Bell, pour inaugurer le premier salon du Multimédia à la Foire de Paris en 1999, lors de la présentation des écrans plasma qui appartiennent aujourd’hui à notre quotidien. Il entre en 2004 dans le dictionnaire de Drouot Cotation, à participé à la “Biennale de Florence“ en 2009 et est présent également au MOCA “(Muséum of Computer art à New York) avec qui il  expose à Brooklin  janvier 2010 où il obtient le prix d’honneur.
    Des grands maîtres qui l’influencent et qu’il admire, Max Ernst, Tanguy, Jérome Bosch, Klimt, Delacroix, Ingres Chardin, Dali Félicien  Rops, aux transgressions d’un futur à la Jules Verne, le chemin est ouvert dans lequel il s’engouffre avec la certitude de prodigieuses aventures innovatrices.

    De retour d’un  séjour aux Etats Unis, il vous présente aujourd’hui  sa vision et ses impressions  New-Yorkaises ainsi que ses nouvelles créations. Il a participé  à Base’art 2010 et  ses œuvres  sont présentes “Galerie Arista “à Cannes, “Galerie  Art & Emotions“ à Lausanne ,“Galerie 770 “ rue Dauphine à Paris. Prochain vernissage sur le thème “MACADAMISME“ 11 rue des Déchargeurs le 14  et jusqu’au 17 Avril 2011.

 


 

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